Philippe BARONNET

Formation au cours Florent – cycle de 3 ans, puis à l'École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre – ENSATT de 2006 à 2009.

Dans le cadre de l'ENSATT a joué notamment avec :
• B. Sobel Cymbeline de Shakespeare
• C. Schiaretti Hippolyte/La Troade de R. Garnier
• A. Françon Les Ennemis de M. Gorki
• Ph. Delaigue Les Sincères de Marivaux, Les Démons de L. Norén
• J. Fioramante Andromaque de Racine
• C. Schiaretti Tête d'or de Claudel, Le Cadavre encerclé de K. Yacine
• V. Garanger La Bête dans la jungle de M. Duras
• G. Gotti L'Hamblette de G. Testori

Comédien permanent au Théâtre de Sartrouville en 2009, participe, jusqu'en 2012, aux créations de L. Fréchuret : Embrassons-nous, Folleville ! de Labiche, La Pyramide de Copi (comédien et assistant), L'Opéra de quat'sous de Brecht et Weill.

Dans le cadre de la 8e biennale Odyssées en Yvelines, interprète De la salive comme oxygène de P. Sales, mise en scène K. Lardjam, en tournée en janvier et mars 2016. Durant cette période, anime des ateliers, préside le comité de lecture du Théâtre de Sartrouville.

Fonde la compagnie Les Permanents, aujourd'hui Les Échappés vifs – compagnie associée au Préau Centre dramatique de Normandie – Vire.

A mis en scène : 2008 Bam ; 2010 Phénomène #3 d'après les écrits de D. Harms ; 2012 Bobby Fischer vit à Pasadena de Lars Norén, création au Théâtre de Sartrouville, repris au Théâtre de la Tempête en novembre 2013 ; 2014 Le Monstre du couloir de D. Greig, dans le cadre du festival ado initié par Le Préau, repris au Théâtre de l'Opprimé en octobre 2015.

Cinéma avec L. Delplanque, Président

Diplôme d'État d'enseignement théâtral, 2010.
Chargé d'enseignement de théâtre à Sciences Po Paris, depuis 2012.

En 2018, il met en scène Quai Ouest de Bernard-Marie Koltès.

Parcours

PHILIPPE BARONNET ET LA TEMPÊTE

Bobby Fischer vit à Pasadena de Lars Norén en 2013, Maladie de la jeunesse de Ferdinand Bruckner en 2016 : les mises en scène de Philippe Baronnet au Théâtre de la Tempête traitaient de drames intimes, relevaient du huis clos : Quai Ouest, à l’inverse – en Salle Serreau – est ouvert à la violence des éléments comme à celle des rapports sociaux : mais, ici et là, des histoires de famille, des conflits de génération, et la puissance du dialogue dramatique. Koltès y insistait : « On n’écrit pas des pièces avec des idées, mais avec des gens. »

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Au théâtre de la Tempête