Chansons sans gêne

Chansons sans gêne

Nathalie Joly chante Yvette Guilbert
(3e épisode)
mise en scène Simon Abkarian

Yvette Guilbert, la Diseuse fin de siècle, fut avant 1900 la reine incontestée du Caf' Conc'. Sa correspondance avec Freud, qui l'admirait, et son répertoire de l'époque constituaient le programme d'un premier spectacle : Je ne sais quoi. Une seconde carrière, passé les années 10, la voit interpréter un répertoire de chansons plus littéraires, inventant, entre parlé et chanté, le ‘‘rythme fondu''. Chansons sans gêne, 3e volet du triptyque, évoque Yvette Guilbert au soir de sa vie, commençant une carrière cinématographique à plus de 60 ans. Parallèlement, elle poursuit inlassablement par l'écrit, les émissions radiophoniques, les conférences, et un nouveau répertoire, son combat en faveur des femmes et de leur émancipation. Lors de son dernier récital, en 1938, elle salue avec émotion le public parisien qui l'a « vue vieillir, souriante et chantant.» On ne saurait toutefois oublier ni le combat contre les inégalités, ni la quête d'authenticité de cette ?Princesse de la rampe? qui avait « fui la bruyante gloire ». Et si, selon elle, « l'artiste meurt toujours à mi-chemin de son but », elle n'en affirme pas moins : « Je suis Terrienne ; effondrée de reconnaissance, ô Terre, devant ton offrande divine… Je suis ta Passante émerveillée ».

« Chansons sans gêne : un miraculeux équilibre entre humour et émotion (Libération). »

chant, texte, conception Nathalie Joly
piano Jean-Pierre Gesbert

collaboration artistique Pierre Ziadé
conseil artistique Jacques Verzier
lumières Arnaud Sauer
costumes Louise Watts

Production et diffusion Marche la route
http://marchelaroute.free.fr
marchelaroute@gmail.com
tél. 06 52 04 68 90

avec le soutien de l'ADAMI et de la SPEDIDAM. En coréalisation avec le Théâtre de Lenche à Marseille, le Théâtre La Piscine – Firmin Gémier à Chatenay-Malabry, l'acb scène nationale de Bar le Duc

Presse Cécile Morel - cecileasonbureau@orange.fr

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